Cher nouvel élève,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription sur Poudlard revival. Si des questions vous passent par la tête d'ici là, nous répondrons à votre hibou avec plaisir. Il est par ailleurs nécessaire que je vous prévienne que vous rencontrerez beaucoup de monde au fil du temps mais faites attention à vos fréquentations..
Veuillez croire, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall, directrice.
Poudlard Revival
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Alan venait de rentrer de Russie, tout c'etait passè pour le mieux. Malgré qu'il avait passé le debut des vacances à épier les moindres paroles et gestes de James à l'égard de sa cousine. Une fois rentré dans leur Angleterre natale, James et Victoria retournaient chez eux tandis qu'Helena et lui allaient chez celle-ci avec ses parents. Depuis qu'il avait annoncé à ses parents qu'il était en contact avec sa cousine, Iria, la fille du frère de sa mère, cette derniére qui avait toujours été très rancunière, ne lui adressait plus la parole. Alors, son père avait vu avec sa soeur, si Alan pouvait vivre chez eux le temps que cette histoire se tasse. Voilà comment il se retrouvait dans la chambre d'ami de chez Helena. Cette dernière venait de partir à l'anniversaire de Rose Weasley, étrangement elle était partie précipitemment. Alan s'ennuyait profondément, sa petite copine, Nérissa, lui manquait terriblement. Elle lui avait déjà proposée de partir chez elle en sa compagnie en Australie. Mais il n'avait pas pu devant partir en Russie. Alors qu'il faisait ses devoirs pour la rentrée à Poudlard, une idée lui vint : et s'il rendait une petite visite surprise à Nérissa. Il connaissait déjà son adresse exact et, avec son permis de Transplanage en poche, il pouvait se déplacer aisément. Le lendemain matin, il se prépara du mieux qu'il le pouvait. Il fallait bien qu'il soit présentable devant son possible futur beau-père ainsi que devant sa petite copine qu'il n'avait pas vu depuis des semaines. - Et où tu vas dans cette tenue, si ce n'est trop demandé ? lui avait demandé sa tante lorsqu'il était entré dans la cusine pour prendre son petit déjeuner. - Je vais chez Nérissa pour lui rendre une petite visite surprise ! répondit-il en s'essayant en face de son oncle avant de se servir une assiette d'oeufs brouillés avec du bacon et un verre de jus d'orange. Une fois son petit déjeuner terminé, qu'il est fait sa toilette, il regarda sa montre. 10h15. Il y avait 7h de décalage horaire entre Bristol et Perth. Il était donc 17h chez Nérissa. Le Gryffondor transplana dans la ville. Il s'était beaucoup renseigné sur la capitale de l'Etat d'Australie-Occidentale. Cette ville était paradisiaque, d'un côté il y avait la ville où les grattes-ciels pouvaient rivaliser avec ceux des plus grandes ville des Etats-Unis ainsi que de l'autre, une plage paradisiaque. Il se rendait ainsi, sous le soleil d'Australie, chez un fleuriste Moldu à qu'il acheta un bouquet de roses rouges. Il se rendit dans un lieu isolé pour disparaître à nouveau. Il arriva cette fois devant l'immense porte en chêne d'un grand manoir pouvant faire passer aisément sa maison de Bristol pour un bidonville. Il toqua trois fois. Quelques minutes plus tard, une femme, certainement la domestique, vue sa tenue, vint lui ouvrir. - Bonjour, c'est pour quoi ? demanda t-elle avec son accent Australien. - Bonjour, madame, je désirerai voir Nérissa, dit-il. Elle lui demanda de le suivre, il s'éxecuta. Ils traversèrent l'entrée, puis le salon, splendide et spacieux, ils arrivèrent devant une porte qu'elle ouvrit, en lui indiquant que Nérissa était dans la piscine, avant de se retirer. En effet, une jeune fille aux cheveux bruns se trouvaient là, allongée sur un transat, lézardant au soleil de son pays d'origine. Elle arborait un magnifique bronzage comme elle lui avait décrit dans ses lettres. Il se faufila sans un bruit derrière elle, mit ses mains devant les beaux yeux de la Serpentard, avant de lancer d'un ton joyaux : - Devine qui c'est !
❝ Nérissa W. Arcand ❞
Parchemins : 60 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 29 Humeur : I'm good
Mes vacances avaient été assez long compte tenu du fait que le tour est rapidement fait tout ce qu’il y avait de potentiellement intéressant dans ma vie de jeune moldue australienne. Voyez-vous, j’avais promis à mon père que, pendant mon séjour, je me devais d’être «normale»… ce dernier ne considérant pas la magie comme quelque chose de normal avait peur que je ne traumatise tout son entourage. J’avais donc, pendant près d’un mois, été la petite Nérissa charmante, polie et «normale» que me père voulait à tout prit présenter à ses associés. Non, mon père et moi nous ne sommes pas en froid seulement… il avait tendance à n’avoir qu’une seule vision du monde : la sienne. Mes vacances avaient été agréable, certes, mais assez longue. J’avais déjà hâte de repartir pour Poudlard voir mes amis et enfin pouvoir m’occuper autrement qu’avec de la lecture, de la piscine, du soleil et des fêtes mondaines.
Ce matin, j’avais décidé de commencer ma journée avec une trempette dans la piscine. Le seul endroit dans cette maison où je n’avais pas à croiser mon père ou l’un des domestiques. Le matin, je n’étais pas exactement des plus sociable voyez-vous. Après quelques longueurs, je suis entrée dans la maison prendre une pomme, me brosser les dents et me changer pour mettre mon maillot mouillé à sécher. J’ai ensuite revêtit un autre maillot sec pour allez m’allonger au bord de l’eau avec un livre. J’avais mes écouteurs sur mes oreilles écoutant à volume bas de la musique.
Une demi-heure plus tard, je n’entendis pas la porte principale s’ouvrir et la discussion, brève mais existante, qu’avait eut ma nounou avec l’invité. Tout ce que je sais c’est qu’en moins de deux secondes, je me suis retrouvée aveugle et une voix familière me demanda de deviner. J’ai souris en coin et posant mes mains sur les siennes je me suis levée et retourner prestement pour voir mon petit ami debout devant moi. Sans perdre trop de temps, j’ai contourner la chaise longue pour m’élancé vers lui, plaquant mes lèvres sur les siennes tandis que je sautais dans ses bras. Au bout de quelques minutes, j’ai détaché ma bouche de la sienne pour lui lancer un regard, soudainement perdu.
- «Mais qu’est-ce que tu fous ici? Tu n’étais pas en Russie?»
(c) B-NET
❝ Alan Ekimov ❞
Parchemins : 70 Date d'inscription : 20/04/2012 Age : 29 Localisation : Bristol, UK
Après lui avoir caché les yeux, elle mit ses mains sur les siennes en souriant. Alan lui rendu la vue, alors elle se leva, se retourna, pour être face à son petit ami. Elle lui sauta dans les bras en le couvrant de baiser. Avant de prendre un air perdu et de lui demander ce qu'il faisait chez elle alors qu'il était censé être en Russie. - Je voulais te faire une surprise ! répondit-il, tout sourire. Oh je suis revenu il y a quelque jours, je ne te l'ai pas dis pour te faire une surprise. T'es pas contente que je sois là ? Elle répondu que bien sûr que si, elle était ravie mais qu'elle ne s'attendait pas à sa venue. Il lui demanda s'ils étaient seuls. Et oui, mis à part la femme de ménage, ils étaient complètement seuls. - Tu me fais visiter ? dit Alan. Elle acquiesça. Elle commença à se diriger vers une porte, il la suivi. Sa maison n'était plus une maison, mais un château ! Elle était immense. A côté, sa maison à Bristol était un vrai bidonville. Il ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe d'envie lorsqu'ils parcourent le salon et qu'il vit cette télévision dernier cri ainsi que ses ordinateurs magnifiques d'une grande marque américaine. Ils arrivèrent en dernier dans la chambre de Nérissa. En un mot : spacieuse. Comme le reste de la maison à vrai dire. Son lit était vraiment grand, Alan n'avait qu'une envie : sauter dans le lit. Ils s'assirent dessus. Il était génial, très confortable. Alan prit les devants, leurs mains se touchèrent, puis il avança sa tête vers la sienne et ils s'embrassèrent. - Je t'aime, dit-il, sa tête si proche de la sienne qu'il pouvait sentir le souffle de sa petite copine sur son visage. Alan avait une petite idée derrière la tête. Ils étaient ensemble, ils s'aimaient, ils étaient seuls, chez elle, sur son lit... Il espérait qu'elle pense la même, mais de toute façon, il n'allait pas l'obliger si elle ne voulait rien faire. Il n'était pas un gros pervers hyper lourd.