Alice F. Fletchley Ҩ

« Et si je disparaissais, tout serai bien mieux. »

Hj: Alors ce post est vraiment très important pour mon personnage, c'est une intrigue perso pour mon perso. Je recherche, un ou deux personnages qui vont aider pour le bon déroulement de l'intrigue personnel. Je vous explique. Ça se passe entre le parc et la foret interdite, je demande à la personne qui va posté d'être au départ mauvais avec Alice, septique à son changement, dans le genre que c'est une peste et qu'elle le restera toujours, faut lui faire comprendre. Je souhaite également qu'il y est une bagarre ou une dispute qui se déroule entre les deux où trois personnages. De là, après je voulais faire en sorte que Alice tente de se suicider mais que le ou les personnages l'a dissuade. Après si vous avez des idées et que vous êtes intéressez, moi je suis ouverte à toutes propositions et puis de toute façon on avancera selon le rp, donc n'hésitez pas à postez ce que vous avez en tête et faîtes marchez votre imaginations, mon personnage aime l'aventure. ♥


Alice vagabondait dans l’immense parc qui entourait le château. Aujourd’hui le temps était particulièrement agréable, un doux soleil orné le ciel qui était magnifiquement bleu, il n’y avait pas un seul nuage à l’horizon. Le printemps se faisait sentir dans tout le royaume magique, les écoliers avaient abandonnés, leurs livres et leurs devoirs pour se prêtaient à des activités en pleine air, tout le monde même Alice.

En parlant de la jeune Poufsouffle, pas grand monde ne peut se ventait de la connaître. Ou alors si vous leurs posez la question, ils vous répondront tout simplement, que c’est une peste qui faut fuir à tout prix. Seulement, la jeune sorcière n’est pas que ça. Si la jeune fille est à la maison Poufsouffle, celle des bons et loyaux, c’est qu’il y’a bien une raison, que cela vous plaisent ou non.
Certes, Alice n’a pas toujours était tendre avec tout le monde, mais depuis le début de l’année bien des choses ont changés dans sa vie et pas des moindres. La Poufsouffle n’est plus tout à fait la même, elle a beau le faire remarqué, mais pas grand monde voit se changement d’un bonne œil, ou s’en contre fiche totalement. Ca en devient même lassant à force.

Alice est une fille d’apparence, ingrate, solitaire, bonne vivante, qui ne mâche surtout pas ses mots.. Mais dans le fond, elle est tout le contraire de ce qu’elle montre. C’est une fille sensible, à fleur de peau, qui n’aspire qu’à une chose, être avec des amis, qu’ils l’apprécieront pour ce qu’elle est véritablement, et qu’elle ne sera plus jugé seulement par son apparence ni son passé. Mais cela reste une tâche bien difficile à faire… Quand les gens ont une opinion sur vous, il est difficile de s’en défaire, à moins qu’un miracle se produise, et encore, si vous avez de la chance.

La Poufsouffle parcourait le parc sans grandes convictions. A vrai dire, des choses lui occupaient l’esprit. En ce moment ça allait très mal pour la jeune sorcière, et rien ni personne n’était là pour l’épauler, même sa famille avait fini par l’abandonné lâchement, d’ailleurs comment faire confiance à des membres d’une famille. Eux qui ont lâchement fermés les yeux, alors qu’elle se faisait violée toutes les nuits par un oncle sans pitié et sans conscience… Même sa mère avait fini par lui en vouloir, parce qu’elle était en train de briser une famille, qui avait toujours était lier, même dans le mensonge... Depuis sa deuxième année, Alice avait trouvé une espèce d’exécutoire, dans le fameux scalpel en argent, qu’elle porte autour de son cou, le plus souvent bien caché en dessous de son chemisier à l’abri des regards indiscrets. Chaque fois qu’une chose la contrariée ou que la solitude pesée un peu trop lourd sur son cœur, elle se mutilée, de là, à vous dire que ça lui faisait du bien, ce serai mentir. Mais Alice trouvait en ce geste un réconfort, quelqu’un qui était là, qui la comprenait et la soutenait, alors que ça fait mal. Malheureusement, ça ne marchait pas toujours, parce qu’à force, on s’y habitue à la douleur et les marques sur son poignet commencé à pesée lourd, et les sortilèges qu’elle jetés pour camouflées toutes ses entailles commencé à faire l’effet inverse. Se mentir à soi-même n’est pas le meilleur remède pour se sentir mieux. Il est juste là, pour vous détruire à petit feu, dans d’atroces souffrances et de mal être.

Alice était fatiguée de tout cela, elle en avait marre. Pourquoi les autres était heureux et pas elle ? Qu’est-ce qu’elle avait bien pu faire de mal, pour qu’à sa naissance il soit dit, que tout ce qu’elle approchera sera sombre et sans espoirs, et que sa vie ressemblerai à un tel cauchemar. Des perles salées commencèrent à couler le long de ses joues et ça n’en finissaient pas. Voilà bien longtemps qu’elle n’avait pas pleurait ainsi. Elle s’était tellement retenue, pendant si longtemps, qu’un moment ou un autre cela paraît logique qu’elle se vide de ce qu’elle avait sur le cœur. Et c’était maintenant, à la vue de tous. La Poufsouffle n’était pas du genre à montrer ses émotions en public, elle détestait ça tout bonnement. C’est pour cela que quelques minutes plus tard, elle se mit à courir à toute vitesse dans tout le parc, cachant son visage à l’aide de ses mains en évitant le plus possible les élèves, qui étaient tranquillement assit sur les pelouses.

La seule chose qui se passé dans sa tête, était ces mots que la jeune fille se répétés dans la tête.

« Alice, tu n’a pas le droit de pleurer, tu ne peux pas, pas maintenant. Arrête ! »

Les jambes de la Poufsouffle commencèrent à fatigués et la jeune fille était épuisée. Elle ne savait même pas où elle allait, mais elle courait, encore et toujours, jusqu’à ce que ses jambes fassent des nœuds et qu’elle tombe en roulant sur le sol. Durant la chute, la jeune noir et or s’était cognée sur une pierre et avait fini par se retrouvait au bord de la foret interdite. Elle reconnaissait le coin, puisque, à peine au bord, que tout était devenu sombre. Alors que si elle se retourné, elle pouvait encore apercevoir le parc du château, qui était somptueusement éclairé par la lumière du soleil.

Alice qui était encore par terre, renifla, elle avait les yeux rouges et en plus elle s’était fait mal. Elle se releva difficilement, elle titubée, encore secouée de la chute qu’elle venait de faire. Elle porta directement ses mains à la tête. Elle s’était cognée quelque secondes plutôt, et une vilaine bosse avait apparu sur son crâne, pas de chance pour elle, elle remit ses cheveux en place, pour cacher tout ça. La robe de la Poufsouffle était immaculée de terre et d’herbe, mais elle s’en contre fichait, elle était mal. La jeune fille après s’être retrouvée debout, recommença à pleurer de plus belle. Elle était pitoyable et elle le savait. Elle se détestait, elle était seule et vulnérable, les blessures sur ses avant-bras lui faisaient mal. Mais une voix vient la retiré de ses sanglots, Alice tourna la tête vers où elle avait entendu la voix, elle lança un regard noir à l’inconnu qui s’approcha d’elle…
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«Broken inside.»

Les cours à Poudlard avaient repris, la petite vie de chaque élève avait repris, tout semblait comme "redevenu normal". Pourtant absolument rien ne serait plus normal pour Pandora qui traversait à ce jour une sombre partie de sa vie. Son père était mort depuis quelques mois déjà et alors qu'elle n'avait même pas encore fait son deuil voilà que son petit frère disparaissait lui aussi.

Quelle étrange expression, "faire son deuil". Comment était-ce seulement possible de pouvoir en un laps de temps accepter le fait que du jour au lendemain on devait s'habituer à l'absence définitive d'un être que l'on aimait plus que tout. C'était tout simplement une chose inconcevable pour la serdaigle qui ne réalisait toujours pas que jamais plus elle ne verrait son petit frère, jamais plus elle ne l’entendrait rire, jamais plus elle ne l'embêterait comme elle en avait l'habitude, jamais.

Le regard vide, une démarche lente, Pandora marchait dans les couloirs de Poudlard sans vraiment savoir où elle allait, sans but préci, se faisant bousculer de temps en temps par des élèves qui riaient, qui s'amusaient. Une sensation qu'elle ne semblait n'avoir jamais connu. Une énième personne était sur le point de bousculer la serdaigle lorsque quelqu'un s'occupa de pousser cette personne puis de passer un bras autour des épaules de Pandora. Cette dernière ne remarqua même pas ce qui venait de se passer, le regard toujours vide et la démarche toujours aussi lente, tout ce qu'elle savait c'était qu'elle ne remercierait jamais assez Louis d'être là pour elle à chaque fois qu'elle en avait besoin.

Lorsque son père était mort, il avait passé plusieurs jours chez les Krum à consoler Pandora comme il le pouvait l'aidant à sortir de ce gouffre dans lequel elle avait désespérément plongé tête la première. Il avait fait de même lorsque Matthew était mort et il fallait avouer qu'avec du temps sa blessure cicatriserait lentement et ce, uniquement grâce à Louis et à sa présence bien plus que rassurante et indispensable pour la jeune Pandora.

Pandora passa doucement un bras autour de la taille de son cousin et continua son chemin vers ce qui semblait être le parc de Poudlard qu'ils traversèrent jusqu'à se retrouver jusqu'à la lisière de la foret interdite mais au plus grand déplaisir, la tranquillité des deux serdaigles fut rapidement dérangé par la présence d'une personne que Pandora supportait autant que le bruit d'un moustique lors d'une chaude nuit d'été. Elle jeta un regard noir vers celle qui s'avérait être Alice Finch-Fletchey et qui d'ailleurs était dans un piteux état. "Elle a enfin eu ce qu'elle méritait." Pensa la serdaigle.

Car oui, si elle détestait la poufsouffle il y avait bien une raison à cela puisque cette dernière n'avait cessé de se comporter comme une garce avec Pandora mais aussi la moitié des élèves de son année.

Après un court instant, la serdaigle ouvrit enfin la bouche :
-Toujours aussi belle Finch-Fletchey ! Dit-elle pleine de dégout en voyant la boue qui s'étalait partout sur les vetements de la poufsouffle.
De la méchanceté. Voilà tout ce qui arrivait à sortir de la bouche de Pandora car à cet instant précis tout ce qu'elle voulait c'était faire souffrir quelqu'un aussi fort qu'elle souffrait elle même..

La vie reprenait son cour après le drame qui s'était passé au mariage. Victoire était dévastée que l'union de son amour avec Teddy fut le terrain d'une tuerie abominable. Louis avait perdu un cousin, un Krum, donc un cousin avec qui il s'entendait bien mais il était aussi le frère de Pandora qui elle était bien plus qu'une cousine mais sa meilleure amie. Cette dernière avait perdu son père il y a pas longtemps de ça et maintenant elle perdait son frère. Louis comprenait sa douleur. Si un jour quelqu'un venait à ôter la vie de Victoire ou Dominique il ne s'en remettrait pas. Ses soeurs étaient ses piliers, surtout Victoire.

Louis dévalait les couloirs à la recherche de Pandora, il la perdait vite de vue en ce moment. Depuis la mort de son frère, il avait presque l'impression qu'elle lui échappait. Mais c'était compréhensible. Néanmoins, il se devait d'être là pour elle. Une fois la serdaigle trouvée, Louis passa un bras protecteur sur son épaule tout en poussant quelqu'un qui s’apprêtait à lui rentrer dedans. Les deux se dirigèrent vers le parc, sans réel but précis. Près de l'entrée de la foret interdite, ils découvrirent une élèvent qu'ils n'appréciaient pas particulièrement. Alice Finch-Fletchley se trouvait devant eux dans un état à donner de la peine. Cependant Louis n'en avait pas. Il se remémorait tous les sales coups qu'elle avait fait à Pandora et à lui. De plus, avec tout ce qu'il s'était passé dernièrement il n'avait aucun scrupule à lâcher toute sa méchanceté sur elle.

- Oh mais qui voila? Alice au pays des merveilles, remplie de boue. Tu as enfin compris ta vraie nature, bravo, fit-il tout en applaudissant. Qu'est-ce que tu fous là? Demanda-t-il méchamment.

Alice, Pandora, Louis

« Vous me cherchez ? Vous allez me trouver »

Alice était tout sauf amusée de la situation qu'elle était en train de vivre. Surtout que maintenant deux élèves de Serdaigle la voyait, là, si pitoyable, si fragile, si elle. Les paroles qui sortirent de leurs bouches étaient comme une claque que la jeune fille se prit en pleine figure. Elle ne savait pas comment réagir, si elle devait les suivre dans leur méchanceté ou faire comme-ci de rien était. La Poufsouffle fit vite son choix... Ce n'était sûrement pas le bon, mais à ce moment-là, elle était si en colère, si haineuse, que ça lui avait paru comme la solution miracle.

Alice passa discrètement sa main sur ses yeux, pour sécher ses larmes et s'approcha d'eux en secouant le reste de boue qui s'était agrippé sur sa robe de sorcière. Une fois arrivée à leur hauteur, la Poufsouffle les scruta d'un œil aussi haineux qu'elle avait reçu quelques secondes plutôt de leur part. D'une voix dénuée d'émotions elle leur dit.

« Tiens qui vois-je ! Les deux as been de Poudlard réunie. Ne vous faites pas de soucis pour moi, je suis toujours belle, même dans cet état là... c'est beau ça, ça va Krum ? Comment vont ton père et ton frère ? Oups, pardon, j'avais oublié, ils sont morts, tant mieux, ils n'auront pas à voir à quel point t'es qu'une sale garce hypocrite. Weasley, Weasley... tu cherches un coin pour te taper ta meilleure amie ? Vous avez les buissons, de toute façon c'est très bien comme ça, Krum à l'habitude de se faire prendre partout. »

Alice avait été trop loin, elle le savait, mais dans l'état où elle était, elle ne faisait plus la différence. Tout ce qu'elle a vécu depuis le début, était en train de monter et sur le point d'exploser. Les deux Serdaigle était debout face à elle, ils étaient peut-être innocents sur ce qui se passé dans la vie de la jeune fille, mais ils n'avaient pas étaient tendres avec elle pour autant, alors qu'elle était déjà mal et qu'elle avait besoin de tout, sauf de reproches.

La Poufsouffle avait l'impression d'étouffer, elle, qui voulait montrer qui elle était dans le fond, elle avait encore raté une bonne occasion... Elle faisait tout le contraire de ce qu'elle voulait réellement. Au lieu d'avancer la jeune fille reculée, ça lui faisait tellement mal. Une once de regret avait apparu dans ses yeux, mais elle fit vite diversion pour dissimuler ce moment de faiblesse.

Des larmes commencées à lui monter dans les yeux, elle serra les dents pour éviter d'éclater en sanglot devant Pandora et Louis qui ne manqueront sûrement pas l'occasion de lui passer un savon. En parlant d'eux, pourquoi étaient-ils là ? Au moment ou Alice était au plus mal. Par Merlin... Pourquoi était-elle tombée sur eux maintenant ? Ce qu'elle vivait au quotidien ne lui suffisait pas ? Il fallait qu'encore la vie lui mettent des bâtons dans les roues, la vie était tellement mal faites, tellement injuste, elle l'a détestée...

Louis se demandait ce qu'Alice fichait là, dans cet état. Il hésita un instant à ce radoucir, peut-être qu'elle avait un problème sérieux. Cependant, celle-ci ouvrit la bouche et toutes les résolutions du Serdaigle pour devenir plus gentil partirent en fumé. Pour qui se prenait-elle cette Pousfouffle de malheur? Ce qu'elle dit sur sa meilleure amie ne lui plut pas du tout, elle ne la connaissait même pas et se permettait de la juger. Le passage du "tu cherches un coin pour te taper ta meilleure amie ?" Louis n'y pensa même pas une seconde fois, ils étaient de la même famille tout de même.

- Je te signale que ma meilleure amie est aussi ma cousine, alors tes délires bizarres tu te les gardes, petite pouf.

Pandora ne tarda pas à se jeter sur elle, Louis était content à l'idée qu'elle lui fasse la peau. Le serdaigle n'allait pas le faire lui même, il n'allait quand même pas taper une fille. Au bout d'un moment il décida de les séparer en prenant de force Pandora par la taille pour la dégager des griffes de la poufsouffle. Si elles continuaient comme ça elles allaient se faire mal, ou voir même crier aussi fort qu'un prof les surprendrait. Et là ça irait mal pour tout le monde.

- Elle n'en vaut pas la peine, fit Louis à sa meilleure amie. Regarde la, c'est déjà une loque. Elle se tuera d'elle-même un beau jour cette idiote, ça ne m'étonnerait pas tiens. Pesta le serdaigle, complètement énerver que quelqu'un mette Pandora encore plus mal qu'elle ne l'était déjà. Il obligea sa cousine à rester calme puis atrappa Alice par le col pour la soulevée et la plaquer contre un arbre juste derrière elle. Tu sais je suis très gentil en général mais quand on s'attaque à Pandora, on me trouve. Tu ferais mieux de ne plus te mettre sur notre chemin.